C'est toujours dans les yeux qu'on voit si les gens sont tristes ou heureux. Le regard, on ne peut pas le maquiller.

C'est fini, il ne m'aime pas et je ne l'aime plus. Pourquoi est-ce que je te mens ? Mais bien évidemment que je l'aime encore, comment veux-tu que je l'oublie ? J'ai son rire qui retenti dans mes songes à chaque fois que je m'apprête à sourire. Et ses yeux moqueurs qui me scrutent lorsqu'il brise mes rêves d'avenir. Comment a-t'il pu ? Comment puis-je encore l'aimer après un tel désaccord ? Je le hais.. Non, je me hais. Pourquoi suis-je si idiote ? J'ai réellement cru qu'il pouvait aimer une fille comme moi, une telle sotte ! Tu sais quoi ? La vérité c'est que je suis une nulle, un déchet, je suis inutile, ouais, je suis la pire monstruosité que tu n'auras jamais l'honneur d'avoir rencontré. Le pauvre, dire que je l'ai aimé..

C'est toujours pareil, toujours les mêmes déceptions, les mêmes situations, toujours la même chute au même endroit. L'impression de stagner même quand ce n'est pas le cas. Le même système ternaire: Faire confiance, Être déçu, Recommencer. Le même vide qui n'a de cesse de tout venir détruire. Le même sentiment qui t'attend toujours au tournant. Les mêmes personnes qui se disent différentes et qui se révèlent semblables. Tous ces gens qu'on a aimé et qui sont devenus haïssables. 

I love you just because you're different.

J'aurai du être prête, j'aurai du savoir, j'aurai du être capable de faire face à la solitude et au désespoir. J'aurai du, j'aurai pu, je n'ai pas su, je ne pourrai plus..

"Ne t'en fais pas, la vie continue, tu verras qu'un matin ton chagrin aura disparu. Tu verras, ça ira". J'ai toujours tout dissimulé au fond de mon être, mes pleurs, mes interrogations et mes prises de tête, mais aujourd'hui tout ressurgi et me submerge. Je n'arrive plus à distinguer un horizon, j'ai l'impression que tu m'as utilisée comme ton pion, et j'en souffre. La nuit je ressasse tous ces moments communs, tous ces rires et ces moments complices. Il y en a tant que cela m'occupe des heures, j'enchaine les insomnies. Je n'arrive tout simplement pas à me faire à l'idée que tu es comme toutes les autres, à te plaindre de l'hypocrisie de ton entourage et à être la pire des opportunistes. J'ai du mal à me persuader que tu n'étais pas sincère, j'en viens même à conforter l'idée que j'ai du mal agir. Toutes les nuits se ressemblent, à m'agiter sous mes couvertures, à tenter de trouver une possibilité pour que tout soit à nouveau comme avant, à enchaîner les heures de sommeil en moins en accumulant les difficultés à respirer calmement. Bien évidemment que la vie continue, mais qu'est-ce que je m'en fiche de mon présent, de mon avenir, je m'agrippe à mon passé. C'est une drôle d'amitié que celle que tu m'as portée, à dire ces mots à la légère, à créer de faux espoirs, à se baser sur des mensonges. Tous ces "je t'adore" à la saveur de tes mensonges, ces "pour la vie" qui me rongent. 

 

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J'ai le souffle coupé devant ton visage, j'ai le coeur qui secoué devant ton indifférence. Tes mots me heurtent, tes paroles me transpercent, mon univers s'émiette devant ton pacifisme. Je souffre tellement, seule face aux aléas de cette vie, aux regards assassins qu'ils me jettent, à la méprise qu'ils ne tentent même pas de dissimuler. J'ai si mal, je serre les dents et les poings, je prétexte que je suis allergique lorsque mes yeux sont rouges. Tu as brisé ma carapace si rude, tu as visé au centre même de la cible. Je défaille sous tes rires, sous tes sarcasmes. Je me perds à chercher mon avenir dans des bribes du passé, à tenter de me reconstruire sans aucune volonté. Parce qu'alors que je disais me méfier, que je me promettais de ne plus accorder ma confiance aux mauvaises personnes, à ce moment même où je me sentais en sécurité, tu as tout brisé, toi l'un des uniques êtres en qui je croyais sincèrement, l'une des seules personnes à qui je m'étais attachée. Je m'en veux tellement de ne pas avoir décelé cette division, maintenant que nos deux êtres ne sont plus liés que par le méprise, mon amitié à sens unique me laisse un goût amer. Je suis trop pudique pour te l'avouer, et tu le sais pertinemment. Je n'ai jamais joué, je n'ai jamais su mentir, je n'ai jamais fait semblant, je t'appréciai sincèrement. 

Ceux qui m'aiment me suivent. Je sais, toi, tu restes là. 

 

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Always remember:

- Ne pas perdre de temps pour des personnes qui n'en perdent pas pour vous

- Être qui l'on est est l'unique manière d'exister, toutes les autres personnalités ont déjà été attribuées

- Etre critiquée par quelqu'un signifie que l'on est assez importants pour que d'autres personnes fassent attention à nous

- "Si les gens veulent te rabaisser, soit fière de ca. Cela veut seulement dire que tu es au dessus d'eux"

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Everybody wants happiness, nobody wants pain but you can't have a rainbow without a little rain. - Gossip Girl

 

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«Tout le plaisir et la joie que l'amour peut faire ressentir se paient un jour ou l'autre en souffrances. Et plus on aime fort, plus la douleur à venir sera décuplée. Tu connaitras le manque, puis les affres de la jalousie, de l'incompréhension, la sensation de rejet et d'injustice. Tu auras froid jusque dans tes os et... ton sang fera des glaçons que tu sentiras passer sous ta peau. Mais ça vaut le coup, tu sais.» 

 

Ca y est c'est jour que je redoutait, le jour J come on dit, le jour où je vais devoir une bonne fois pour toute faire un croix sur ce que je ressent auplus profond de moi. Tu t'en va, loin de tout, loin d'ici de tes amis, loin mais surtout loin de moi. Pourquoi diable fais-tu cela ? Qu'est-ce qui t'oblige à partir, à t'enfuir, à prendre ta valise et à nous dire adieu. Dis-moi ! Dis nous ! On a besoin de savoir pour guérir de ton départ. Pourquoi tu ne répond pas, hein ? Qu'est-ce qui ne tourne pas rond dans ta tête ? Je me demande bien ! Je ne sais pas, je ne sais plus, je n'ai pas envie, je n'ai plus envie. Tu sais de quoi je rêve là ? Tu sais ce que j'ai envie ? J'ai envie de mourir mon amour, car loin de toi, je ne vaux rien mais qu'avec toi je me sent bien.

[essai]

J'ai compris que les histoires d'amours ne duraient qu'un certains temps. Que ce n'atait pas comme dans l'un de ses film à l'eau de rose. Que dans la vie c'était bien plus différent. J'ai compris que les parents pouvaient se séparer. Qu'ils pouvaient finir leur jours chacuns de leur côté. Qu'ils pouvaient refaire leur vie avec d'autres amants et d'autres enfants. J'ai compris que les amis peuvent nous décevoir, que ce n'est pas chose acquise. Que parfois il faut savoir faire preuve de courage pour affronter cette réalité. J'ai compris que tout les films sont mensongés, qu'ils nous relate des histoires loins de la réalité, qu'on appel ça "l'évasion mentale". En fait, c'est pitoyable. J'ai compris qu'on ne pouvait pas réaliser nos rêves quand on le souhaitait mais qu'il fallait du temps. J'ai compris qu'il y a plus de jour où il pleut que de jours où il fait beau, c'est pour que les gens comme moi, les gens qui sont plus osuvent triste que heureux se sentent tout à coup moins seul. J'ai compris que le maquillage ne sert pas à grand chose, ça nous fait porter un masque sans en avoir l'air. C'est pour qu'on se sente plus forte, mais au final le maquillage ne change pas ce qu'on pense vraiment à l'intérieur de soi. J'ai compris que fumer c'est mauvais pour la santé mais que je ne peux m'en passer, ça me fait oublier tout un tas de chose, c'set comme si je prennais mes problèmes que je les mettaiens loin dans mes poumons puis que je les ressortait en fumée. J'ai compris que la technologie c'est pas toujours bien, que parfois ça fait du mal aux gens qui nous entourent. J'ai compris que les voitures ça va plus vite pour avancer, mais que ça va plus vite pour détruire la terre. J'ai compris que les opinions politiques vallait mieux les garder pour soit parceque sinon on se dispute toujours pour un oui ou pour un non; et puis c'est pas pour rien qu'on vote dans un isoloire. J'ai compris que les médecins découvraient certaines choses bien, plus ou moins grave, mais qui renforece l'idée qu'ils ne sont pas bien fort. J'ai compris que ceux qui nous font le plus de reproches sont ceux qui ont le plus de regrets. J'ai compris que la vie c'est pas le paradis, que c'est un enfers avec de temps à autres des petits anges égarés qui nous font aimé ça. J'ai compris que le silence ne puni que l'insolence. J'ai compris que les amis ça nous aide toujours, dans les bonnes comme dans les mauvaises situations. J'ai compris que pour les adultes les enfants/adolescents n'ont jamais de problèmes ni de soucis à se faire. J'ai compris que dans beaucoup de situation il fallait mieux garder le silence. J'ai compris que se moquer des gens différents c'était mal mais ça tout le monde le sait. J'ai compris que je n'aimais pas les sciences, ça ne change pas beaucoup. J'ai compris quej'avais une intolérance aux lactoses, qu'on me l'annoncait à 17 ans et que j'allait devoir faire attention à changer toutes mes habitudes alimentaires. J'ai compris que si on se moque de la figure des gens qui nous entourent c'est juste parcequ'à l'intérieur de nous opn se sent pas bien, qu'on à envie d'exister, de hurler et de se fair enetendre pour une fois. J'ai compris que si les Hommes veulent se sentir supérieur c'est parcequ'au fond ils savent qu'ils ne le seront jamais. J'ai compris que l'argent servait à presque tout, mais ne sert à rien quand il s'agit de bonheur et d'amour. J'ai compris que les insectes sevraient à quelques choses. J'ai compris que j'étais tombé amoureuse de la Thaïlande lorsque j'y suis allé en février 2010. J'ai compris que j'avais une part de moi qui reste attacher à mon enfance. J'ai compris qu'en amour j'étais tout sauf chanceuse. J'ai compris qu'IL m'a un peu prise pour une conne. J'ai compris que je ne pourrais probablement jamais me rapprocher de G. J'ai compris que j'ai du mal à faire confiance aux Hommes. J'ai compris que quoi que je fasse tu ne changera pas d'avis. J'ai compris que tu ne m'aimais pas de la même manière que je t'avais aimé. J'ai compris que je ne t'aimerais plus parcequ'au fond t'es le Roi de idiots. Mais ce que je ne comprends toujours pas c'est pourquoi tu ne me dit pas tout ça en face ?